Le monde de l’édition est l’une des industries les plus captivées par le zèle progressiste — il suffit de se rendre à un festival du livre ou de consulter le site web de n’importe quelle maison d’édition pour en avoir la preuve.
C’est pourquoi un groupe anonyme a créé SEEN in Publishing, décrit comme ‘un réseau de professionnels de l’édition, d’auteurs et de créatifs, qui reconnaissent la réalité matérielle du sexe et soutiennent la liberté d’expression.’
Cela semble avoir froissé quelques plumes. Les réseaux Pride de Pan Macmillan, Penguin Random House UK et Hachette UK ont publié une déclaration commune : ‘Nous sommes déçus par l’annonce du groupe SEEN in Publishing … Nous sommes préoccupés par le caractère anonyme de ce groupe qui pourrait avoir un impact négatif sur l’environnement de travail et compromettre la sécurité individuelle, en affectant les plus marginalisés de nos communautés.’
Mais SEEN maintient qu’il est resté anonyme pour protéger ses membres des activistes trans, affirmant : ‘Ce sont ceux qui expriment leur scepticisme à l’égard de l’idéologie de l’identité de genre dont les libertés, les réputations et les contrats sont menacés.’ En effet, pour quelle autre raison SEEN existerait-il ?
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