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→ La fin de la monarchie américaine
En quittant la course présidentielle dimanche, Biden semble avoir annoncé la fin de la monarchie américaine.
Ce mois de novembre marquera la première élection présidentielle américaine sans un Bush, Biden ou Clinton sur le bulletin de vote depuis 46 ans. La dernière fois que ces noms n’étaient pas en jeu était en 1976, lorsque Jimmy Carter a remporté l’élection. Même la dynastie Kennedy a perdu son emprise sur la politique américaine avec RFK Jr. qui n’atteint jamais plus de 10 % dans les sondages.
Ce sera la première élection présidentielle depuis 1976 sans les noms Biden, Bush ou Clinton sur le bulletin de vote.
— Ben Jones (@BW_Jones) 21 juillet 2024
L’emprise des familles célèbres sur la présidence ces dernières décennies a été quelque peu embarrassante pour le pays. La règle héréditaire est clairement anti-américaine, tout comme le fait qu’un politicien occupe une place de choix dans trois administrations présidentielles récentes. Nous saluons le président pour avoir rendu le Bureau ovale à l’homme américain moyen. Bien joué, Joe.
→ Corbyn questionne Starmer sur Gaza lors de leur premier échange à la Chambre des communes
Les vieux copains Keir Starmer et Jeremy Corbyn ont eu l’occasion de discuter aujourd’hui pour la première fois dans le nouveau Parlement.
Corbyn, indépendant depuis que Starmer l’a expulsé du Parti travailliste, a demandé au nouveau Premier ministre s’il appellerait au retrait des forces israéliennes de Gaza et de la Cisjordanie et mettrait fin à l’approvisionnement en armes du Royaume-Uni à Israël.
J’ai demandé à Keir Starmer si son gouvernement mettrait fin à l’approvisionnement en armes à Israël. Il a refusé de répondre.
pic.twitter.com/hzq2CsUbUv
— Jeremy Corbyn (@jeremycorbyn) 22 juillet 2024
Starmer a donné une réponse vague sur la résolution des conflits et les véritables causes de la migration. « La perspective d’un cessez-le-feu est là. J’encourage tous les partis à saisir cette opportunité. »
Corbyn n’a pas été particulièrement satisfait de la réponse. Il a dit : « J’ai demandé à Keir Starmer si son gouvernement mettrait fin à l’approvisionnement en armes à Israël. Il a refusé de répondre. » Heureusement qu’il n’y a pas de rancœur entre les deux…
→ Le problème de Carla Denyer avec Biden
Tout le monde sait ce que c’est de faire quelque chose de gentil qui soit mal pris. La leader du Parti vert du Royaume-Uni, Carla Denyer, a vécu cela aujourd’hui alors qu’elle a été forcée par l’aile pro-Palestine de son parti de s’excuser pour la déclaration qu’elle a faite à propos du président Joe Biden.
Peu de temps après l’annonce de Biden qu’il ne se présenterait pas à la présidence en novembre, Denyer a publié une déclaration disant : « Je souhaite tout le meilleur au président Biden et je le remercie pour ses nombreuses années de service public. Ça n’a pas dû être une décision facile pour lui. C’est un véritable signe de leadership. »
Depuis des décennies, les gouvernements successifs des États-Unis ont soutenu l’occupation illégale du gouvernement israélien des terres palestiniennes, et Biden est complice du massacre de personnes innocentes à Gaza.
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