La candidate présidentielle du Parti vert, Jill Stein, a rencontré un nouvel obstacle dans sa tentative peu probable d’accéder à la Maison Blanche.

Stein a à plusieurs reprises refusé de qualifier Vladimir Poutine de criminel de guerre lors d’une interview avec Mehdi Hasan, invoquant la nécessité de la diplomatie dans l’espoir de futures négociations, mais a ensuite qualifié Netanyahu de criminel de guerre. Elle a expliqué la différence entre son traitement des dirigeants d’Israël et de Russie en affirmant de manière inexacte que la Cour pénale internationale n’avait déclaré que ce dernier criminel de guerre — ce que Hasan a rapidement corrigé.

Le fiasco de cette interview risque d’être plus dommageable que sa récente altercation avec AOC, qui, si tant est qu’elle ait eu un impact, a en réalité rehaussé son profil public. Avec un score électoral projeté de zéro, Stein n’a que peu à perdre.