Le député de Clacton a longtemps attendu ce moment. Le discours inaugural de Nigel Farage à la Chambre des communes était une distillation des points de discussion politiques de sa carrière.

Ne voulant pas laisser le Brexit dans le passé, il a critiqué ce qu’il a appelé un ‘parlement des partisans du maintien’, qu’il a ensuite corrigé en ‘parlement des partisans du retour’. Sans aucun doute, le leader de Reform est agacé à l’idée du ‘redémarrage’ des relations européennes de Keir Starmer.

Mon discours inaugural à la Chambre des communes. J’ai eu beaucoup de temps pour y réfléchir ! pic.twitter.com/qwfzbGFMyz

— Nigel Farage MP (@Nigel_Farage) 23 juillet 2024

Il a également critiqué le Parlement européen à Bruxelles, avec lequel il est plus familier. En présentant un contraste avec la Chambre des communes avec Bruxelles, il a avancé que de nombreux députés apprécient Bruxelles en raison des Mercedes avec chauffeur disponibles pour chaque membre et des grosses sommes d’argent qui peuvent être dépensées sans conserver les reçus.

Dans un discours qui a duré neuf minutes, la seconde moitié portait sur l’immigration au Royaume-Uni depuis 1997, lorsque Tony Blair est arrivé au pouvoir (et lorsque l’actuelle ministre de l’Intérieur, Yvette Cooper, est devenue députée). Il a également appelé à un référendum sur la CEDH. Brexit et immigration : on garde les mêmes arguments et on recommence…